Il y a un purgatoire
au bouts
de mes doigts
vernis de souffre.
J'avale tout rond
Les colliers
de grand-maman
et j'attends de voir
Sur mon torse
aride
une petite
poitrine
apeurée
comme
un oiseau
habillé de
plumes clinquantes.
dimanche 11 octobre 2009
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