mercredi 28 juillet 2010

X-files.

Il est 2h32 du matin et je me câlisse pas mal de la poésie.
La sacro sainte poésie.

Une fille aux cheveux péroxidés qui danse comme un mec
en manque de cul m'a
prise pour une drag queen.
Dans ma tête, une scène de pulp fiction
passe au ralentit.
Des têtes tombent, des jambes se scindent en deux, des bras éclatent
en milles morceaux.
Mais ça n'a rien de laid. C'est comme un ballet, au fond.

Il y a des moments comme ça où je voudrais juste
pouvoir prendre la vie dans mes bras, la prendre
à bras le corps et la tenir contre
moi,
très fort.

La vérité est définitivement ailleurs.

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